L’opposition: recul ou décantation
6 juillet, 2010, 13:12
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 La mémoire collective épinglait toujours nos consciences: Ali M’CILI, ardent militant des droits de l’homme, froidement assassiné le 07 avril 1987 à paris par le sieur: AMELOU, exécutant des chimères politiques.       22ans après son élimination par la police politique Algérienne, les séquelles de cet assassinat s’ulcèrent toujours dans le registre des martyrs de la démocratie. 

     Les procès intentés par sa famille et ses compagnons se boudent  toujours devant le rempart répressif de la coalition Algéro- française formant l’union des diables, en hypothéquant la justice contre pétrole, au détriment d’une volonté d’acier de mettre toute la lumière sur cette liquidation.      La disparition de ce grand homme était un coup fatal pour l’opposition algérienne et pour la démocratie car il fut l’un  des précurseurs et des pionniers de cette révolution générationnelle qui a mis à nu tout un système les plus infirmes. Son engagement pour la cause fut perceptible dans ses pensées et ses actes, l’histoire nous enseignait qu’il fut l’artisan des accords historiques entre le régime BENBLISTE et le FFS en 1964, arrachant ainsi la reconnaissance du pouvoir pour le front des forces socialistes, étant un parti jouissant d’ancrage social, représente une alternance démocratique, contre l’usurpation et la séquestration des libertés. 

     Le 7 avril1987, était une tache noire dans les annales de l’Algérie- républicaine, car cette journée a imputé au pays sa chance d’embrassé la démocratie, la liberté et la justice sociale. Ce 07avril représentait une profonde consternation pour le peuple qui attendait de M’CILI une 2eme république et une effervescence de joie pour un régime qui parfaitement s’est débarrassé d’un cauchemar, en garantissant un campement perpétuel dans le sérail.       Aujourd’hui, si nous faisons l’inventaire des pertes et des acquis pour revoir les lacunes et adopter la stratégie efficace face aux multiples déroutes vexés par les ambitions démesurées des uns et le désengagement des autres, nous aboutirons au diagnostique suivant: l’opposition se scinde en deux circonstances: entre l’engagement, dévouement et l’altruisme sous les commandes de M’CILI et narcissisme, népotisme, clientélisme et résignation  à l’époque actuelle. 

     Deux époques notoirement différentes, prouvent la place prépondérante de cet homme sur l’échiquier politique, constituant un danger permanant à l’entente étriquée  dans l’agora des décideurs et son élimination était un acte lâchement prémédité, poignardant la démocratie par derrière, en s’éteignant la chance à la nation de voir la levée du jour.      Le but recherché par sa liquidation est  d’imposer une ligne de conduite infranchissable contre les éveilleurs des consciences qui défraichissent le champ de possible,  en enseignant au peuple le gout et l’envie de vivre digne dans un pays prospère.  

     Peut-on dire que le combat de M’CILI est renoncé par les siens? Depuis l’avènement de multipartisme, hormis cette     Décennie effervescente effleurit par une dynamique mobilisatrice des masses, la suite du parcours est téléguidée par le collimateur qui génère des épopées et leurs actants circonstanciels. La vie politique est snobée d’en haut, tout est devenu artificiel, même cette poignée d’hommes qui se proclament d’opposition ne fait que rendre service au régime, en faisant en sorte de s’opposer à une politique alors qu’ils ne remplissent que leur rôle d’agitateurs conjoncturels  d’un espace démocratique limité par les gardes- fous. 

    Certes, l’opposition n’a pas consommé ses chances de se rebondir et retrouver sa vocation primaire et primordial, à savoir: la constitution d’un état démocratique social mais ceci nécessite un acte de refondation et d’assainissement des rangs, en se débarrassant de cette pléiade des charlatans qui vendent et achètent des consciences, en se permettant même de marcher sur les cadavres pour atteindre le maxime de leurs ambitions démesurées.    Ceux qui sont sur les étals, occupant le devant de la scène, ne feront pas la révolution car celle-ci se prépare dans les cœurs des hommes  qui connaissent la valeur authentique de la paix. Hormis ces militants sincères qui sont comptés au bout des doigts, appartenant au petit peuple, partagent avec lui sa joie et ses douleurs; ceux sont des disciples de M’CILI qui disaient chaque jour des choses simples, faisant du social, traduisant les souffrances des autres  dans leur comportement, eux sont l’inspiration  de la 2eme république et tout  changement  parviendrait de leur part.   



متابعات ومضايقات بوليسية بالجملة ضد إطارات ومنتخبي الأفافاس بغرداية
13 juin, 2009, 22:11
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بدأت اليوم حملة واسعة من التحرشات والمضايقات البوليسية ضد إطارات ومنتخبي ومناضلي حزب جبهة القوى الاشتراكية لفدرالية غرداية وكذلك توجيه استدعاءات بالجملة لهم للمثول أمام الشرطة القضائية، دون ذكر السبب أو التهمة الموجهة لهم.

ويأتي هذا بعد الإضراب الناجح الذي شهدته مدينة غرداية يوم 01 جوان 2009، تضامنا مع الشاب المظلوم محمد بابانجار وتعبيرا عن سخط وغضب مواطني غرداية من اللاعدالة والظلم والقهر والتعذيب الجسدي والنفسي المستمر على هذا الشاب، وقد كانت الاستجابة واسعة لهذا الإضراب بنسب متفاوتة بأحياء غرداية، بالرغم من العمل المخابراتي والمؤامراتي من السلطة المحلية لمحاولة كسر الإضراب وهذا باستعمال أسلوب جديد يتمثل  في إعطاء أوامر لأذنابها المعروفين وهم ما يسمى « بالأعيان » الذين عينتهم ووظفتهم السلطة كممثلين للشعب بدلا من المنتخبين الشرعيين، وهذا في خرق صارخ للدستور ولكل القوانين، ليكونوا الوسيلة المثلى لكسر كل مطالبة بالحقوق ولتمرير خطاب السلطة ومخططاتها وهذا ما أكده الوزير المنتدب « دحو ولد قابلية » في تصريحاته الأخيرة في تمنراست.

وتأتي هذه الممارسات بعد أن فشلت السلطة في كسر التيار الاحتجاجي الديمقراطي السلمي، المتواجد في غرداية و المتمثل في مناضلي حزب جبهة القوى الاشتراكية والناشطين في الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق الإنسان، وذلك فيما صار يعرف ب »أحداث غرداية 2004″، حيث أصدر آنذاك جهاز العدالة أوامر بالقبض ضد إطارات التيار المذكور أعلاه دون أي دليل أو حتى إتباع الإجراءات القانونية المطبقة في مثل هذه الحالات، والذين سلموا أنفسهم ثم صدرت ضدهم أحكام بالسجن النافذ متفاوتة المدة، ثم تلتها القضية المفبركة ضد الشاب محمد بابا نجار المحكوم عليه بالإعدام سابقا،  والذي حاولت  السلطة جره إلى إلصاق تهمة التحريض على القتل لأحد إطارات حزب الأفافاس ولكن دون جدوى، وهذا ما كشفه محمد بابانجار أمام القاضي في المحاكمة الأخيرة بمجلس قضاء المدية.

هل تظن السلطة أنها باستعمالها مثل هذه الممارسات والمضايقات لتخويف وتكميم أفواه كل الناشطين الحقوقيين والمعارضين السياسيين؟؟ وبالتالي ستمضي قدما نحو الدكتاتورية المطلقة وخاصة بعد تعديل الدستور و نتائج الانتخابات الرئاسية الأخيرة.

بل بالعكس من ذلك تماما، فكل مازادت السلطة من مثل هذه الممارسات الدنيئة كشفت عن وجهها الحقيقي أمام كل المواطنين والصحافة المستقلة والرأي العام الوطني والدولي وزادت من عزيمة وإصرار المناضلين الحقيقيين للعمل والنضال المتواصل للتغيير الجذري لهذا النظام ولاستعادة الحقوق والتمتع بالحريات الفردية والجماعية في ظل الديمقراطية واحترام حقوق الإنسان.



Plaidoyer pour une Algérie des libertés et de la justice
3 juin, 2009, 17:17
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Combien de militants de la démocratie et d’innocents qui croupissent dans les geôles d’Algérie ! combien d’intellectuels qui sont réduits au silence imposé ! et combien notre société est scindé en bipolarité : le vrai / le faux , le profond / le superficiel, le réel / le virtuel , l’amalgame juridique, la restriction politique, le mensonge, la répression, la matraque, le lynchage médiatique….etc. tout ce décor est spécifiquement algérien, métiers grises, conception et réalisation est typiquement : made in pouvoir algérien. Voila ce qu’on appelle la démocratie dans une république instrumentale ; ou tout se vend et tout s’achète, tout est téléguidé à distance, l’humanisme  est déraciné de ses valeurs, la vrai politique est vulnérable substantiellement .les pratiques populistes, le culte des personnes, la culture des sectes, le mensonge à outrance prend de l’ampleur, il a même instauré sa propre dynastie, qui est géographiquement se situe à coté de l’Algérie profonde. Il a évacue tout ce qui en rapport avec celle-ci pour ramener ses propres ingrédients, ramasses dans la catégorie des négations. Ces négations ont l’honneur, le privilège, le plaisir et le courage d’enfanté une véritable imposture à la tête de ladite dynastie, à savoir :l’artisan de renom en la matière : A/BOUTEFLIKA qui est chargé pour :(el moussalaha el watania) entre les factions du pouvoir en conflit, la distribution et la répartition équitable de la rente entre les éléments de la caste et aussi de faire allusion au peuple, en lui disant que c’est le temps de la vache maigre donc il faut serrer la ceinture, alors qu’eux ils n’ont même pas une ceinture et le plus jeune parmi eux,il a pas moins de 65ans, il pèse pas moins de 95kg.ce que réplique qu’il s’agit d’un pouvoir de dinosaures !

Dans ce pays, tellement ;la politique qu’est un acte civilisationnel, sémantiquement pervertie, elle est devenue l’art de toutes les sournoises ! Un exercice démocratique des prestations verbales et des promesses populistes. Pour cela, qu’on emprisonne le journaliste, l’intellectuel et le militant « veilleur des consciences » afin d’ériger en ces pratiques oligarchiques une méthode confirmée de la bonne gestion. Si en 2009, les plans de relance  économique contiennent des projets de société avec la forme typique  « le plus grand d’Afrique » des prisons sur des assiettes agricoles, ceci déduit la grande inertie et l’esprit d’irresponsabilité qui range cette caste de décideurs.

Le maintien est un mot d’ordre ! Préalablement incontestable ! Coûte que coûte, évacuer ce peuple vers l’extérieur, exterminer le, réduit le au silence.

Ce pouvoir spolie les droits, il confisque les libertés, il construit des prisons, il emprisonne l’intéligensia, il y existe, il y reste au nom de la démocratie rentière !  



succession de Bouteflika:son frére Said se prépare avec un nouveau parti.
3 juin, 2009, 12:32
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Le plus jeune frère du président Bouteflika, Saïd, se préparerait à prendre le pouvoir en 2014 et devrait créer un parti qui raflerait la mise aux  élections législatives de 2012 et qui lui servirait de tremplin «légal» pour remplacer son frère au poste de président de la République.

C’est ce que croit savoir le « Quotidien d’Oran » pour qui « l’histoire semble se refaire, peut-être pas forcément avec les mêmes hommes mais en tout cas avec les mêmes pratiques et pour la pérennisation d’un même système politique ». Le journal écrit que « la scène politique nationale risque de connaître des bouleversements par la création de ce nouveau parti » dont il précise qu’il « va naître sous les auspices d’un homme, Abdelaziz, l’aîné de la famille Bouteflika »

 Pour ce faire, des contacts sont  entamés depuis quelque temps par Saïd Bouteflika auprès de ce qu’on appelle la société civile ou alors les notables des différentes régions du pays. « Il s’agit, en fait, d’échos qu’on reçoit notamment en provenance des villes de l’ouest, du sud-ouest et du sud du pays. Oran, Tlemcen, Adrar, Bechar, Laghouat, Biskra, entre autres, sont celles où, nous dit-on, les contacts sont entrepris d’une manière sérieuse et soutenue. »

A en croire des milieux qui ont déjà été contactés à cet effet, le parti que Saïd Bouteflika voudrait créer, ressemblerait au RND au moment où il a été conçu par le pouvoir.

« Les prochaines législatives sont prévues légalement en 2012. A moins de faits inattendus, il n’est pas dit qu’elles peuvent être anticipées pour des raisons évidentes de préparation du terrain politique mais aussi et surtout pour son assainissement, son déblaiement et sa réorientation vers les caps fixés. », écrit le journal. 

Clientélisme, affairisme

Le journal conclut : « Il faut croire que tout est possible dans un pays qui sombre d’une manière flagrante et sans retenue dans le clientélisme, le régionalisme, l’affairisme et l’opportunisme. Tout autant que le champ politique, celui médiatique risque selon certaines sources, lui aussi, de subir d’importants bouleversements en prévision des échéances à venir. L’amnistie générale que le chef de l’Etat veut mettre en oeuvre au profit des islamistes viendrait, selon les mêmes sources, comme appoint décisif pour asseoir une nouvelle tendance politique où la donne islamiste serait, nous dit-on, «gérée comme il se doit».

Saïd Bouteflika est, faut-il le dire, le frère le plus actif et le plus en vue du chef de l’Etat. Il l’a été depuis que Abdelaziz Bouteflika a pris les rênes du pays. Il semble avoir ainsi décidé de vouer le restant de sa vie à la gestion du pouvoir puisqu’on lui reconnaît depuis 1999 qu’il est pratiquement à l’origine des grandes décisions. C’est ce qui résonne même à l’extérieur du pays. L’on se rappelle ce directeur d’un grand journal d’un pays du Golfe qui avait mis en avant la personne de Saïd pour, nous avait-il dit, pouvoir décrocher une autorisation pour l’ouverture d’une ligne aérienne entre son pays et l’Algérie. «On me dit que toutes les décisions passent par Saïd Bouteflika», avait-il confié en marge d’un sommet de l’OTAN qui se tenait à Riga, en Lettonie. Les chancelleries accréditées à Alger en parlent souvent sous cet angle à ceux qui tentent de comprendre comment sont gérées les affaires de l’Etat.

Il faut reconnaître à Saïd Bouteflika une ambition folle de paraître comme tel aux yeux de tout le monde. Il ne s’en est jamais caché. Durant la campagne électorale pour la présidentielle du 9 avril dernier, le jeune frère était constamment en avant. Il veillait au grain. Il vérifiait tout, des portraits, aux banderoles, aux installations sonores, aux agissements des éléments de la sécurité présidentielle qu’il rappelait à l’ordre à chaque fois qu’il le jugeait utile. Il a réussi ainsi à organiser une campagne électorale de bout en bout. Et là où Saïd Bouteflika pensait que les choses pouvaient se corser ou aller à contresens de l’ordre établi, il se déplaçait la veille, y passait la nuit pour en filtrer le moindre signal. Il l’avait fait à Tizi Ouzou et à Béjaïa. Il est connu dans toutes les régions du pays. Les foules l’acclament par son nom. Sourire aux lèvres, il ne se privait pas de s’en approcher. Il ne refusait aucune sollicitation. Nous l’avions même vu écouter ceux des petites gens qui lui exposaient leurs problèmes. Futé qu’il semble l’être, Saïd Bouteflika pense certainement ne pas se priver de «cette aura» en la transformant en une assise populaire pour s’assurer des lendemains politiques prometteurs.

 – Sce : Quotidien d’Oran



MOHAMED BABA NEDJAR victime d’une justice aux ordres
2 juin, 2009, 14:06
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         Après plusieurs reports répétitifs et avec un dossier juridiquement vierge, la cour de MEDEA condamne le jeune MOHAMED BABA NEDJAR à perpétuité pour un crime qu’il na pas commis et absolument, il est loin d’être concerné par ladite affaire , même la famille de la victime et les témoins à charge  et à décharge ne pointaient pas le doigt  accusateur en direction de BABA NEDJAR. Ce procès a le privilège de dévoiler l’usage de téléphone intriguant  le fonctionnement de
la Justice, BABA NEDJAR aurai bénéficie de la relaxe s’il n’était pas natif de GHARDAIA : une région à l’instar des autres régions d’Algérie qu’est ébranlé ces dernières années par des mouvements de contestation cyclique, réclamant eaux aussi leur part de pétrole et leur droit absolu d’avoir accès au droits. MOHAMED BABA NEDJAR était donc, un enfant de cette région, un model type d’un bon citoyens sur tous les plans, son éducation et son comportement social exemplaire on fait de lui « une cible privilégie » du pouvoir qui à l’intention de prendre toute une région en otage afin d’imposer le silence et la résignation après avoir tourner le dos aux doléances des citoyens.

     MOHAMED pourrai retrouver sa liberté s’il n’était pas un Militant de la démocratie, en appartenant à une poignée d’hommes d’avant-gardistes. Veilleurs aux soucis de leur société et GHARDIA aurait pu avoir son fils s’elle à cédée au chantage imposé, en acceptant de renoncer à leur désobéissance et leur maturité politique en contre partie d’une normalisation étriqué.

Le pouvoir en place et cette et cette justice instrumentale savaient pertinemment que MOHAMED n’est pas l’auteur ni le commendataire du crime, mais il s’agit seulement d’une méthode chimérique pour en finir avec une population, laquelle est en train de prendre des relais proportionnelles dans le sillage des libertés et de la démocratie



Hocine AIT AHMED: «On ne peut pas construire l’avenir de notre pays en travestissant l’Histoire
2 juin, 2009, 13:14
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1 juin, 2009 Posté dans Hocine Ait Ahmed

haa.bmpDéclaration d’ouverture et mots de remerciements de Hocine Aït-Ahmed lors de la journée d’études sur la guerre d’indépendance de l’Algérie, des années 1940 à juillet 1962, organisée par la Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (BIDC) de l’Université de Paris Ouest, le 20 mai 2009. 

Mesdames et messieurs, chers amis,

Parler de la révolution algérienne pour un homme de ma génération, c’est parler de ce que je considère comme un motif de fierté universelle. Elle concerne, par-delà les nationalismes, tout individu ou groupe humain qui n’a pas désespéré de voir, comme dit la chanson, s’accomplir un idéal de justice et de liberté. Mais en parler aujourd’hui, c’est aussi saisir ce que l’histoire a de terrible et de douloureux. Non seulement à cause du prix payé pour que cet idéal, en l’occurrence l’indépendance algérienne, s’accomplisse. Mais aussi parce qu’une fois qu’un premier pas a été accompli, l’on voit l’immensité de la tâche qui reste.

La longue marche vers la liberté, la justice et la démocratie n’a fait que commencer avec l’avènement de l’indépendance. Et cette longue marche n’a cessé d’être contrariée. Un coup d’Etat suivant l’autre, une régression annonçant l’autre. Le vingtième siècle, pour l’Algérie comme pour le reste du monde, aura été tout à la fois le siècle des souffrances innombrables, de la dignité retrouvée et des promesses non tenues.



تطور جهاز العدالة من تطبيق اللا عدالة إلى تطبيق منطق دزوا معاهم !!
1 juin, 2009, 14:58
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مرة أخرى وبخطوات ثابتة يبرهن جهاز العدالة في الجزائر عن مدى انصياعه التام والمذل إلى درجة العبودية – بكل ما تحمله هذه الكلمات من معاني – لأوامر ورغبات السلطة التنفيذية، وما حدث يوم الأربعاء 27/05/2009 بمجلس قضاء المدية، بمناسبة إعادة محاكمة الشاب محمد بابا نجار المحكوم عليه بالإعدام سابقا، إلا تأكيد آخر عن مدى درجة هذا الانصياع.

فبحضور عدد معتبر من المحاميين ذوي الأسماء المعروفة وحتى من خارج الوطن، للدفاع عن الشاب محمد بابا نجار ولإظهار الحقيقة في هذه القضية التي أسالت الكثير من الحبر وكذلك الشخصيات الوطنية التي حضرت للمتابعة والمراقبة  والصحافة الوطنية المستقلة التي حضرت بكثافة لتغطية هذه المحاكمة، فبعد مداولة قصيرة جدا لم تدم أكثر من عشرين دقيقة!! سادت حالة من الذهول وعدم التصديق، كل الحاضرين في قاعة مجلس قضاء المدية، لدى سماع رئيس جلسة الجنايات وهو ينطق بعقوبة السجن مدى الحياة على المتهم الشاب محمد بابا نجار بتهمة القتل العمدي مع سبق الإصرار والترصد !!

 وكان سبب هذا الذهول هو أن جميع من كان في القاعة يتابع أطوار المحاكمة لمدة ساعات صار متأكدا من استحالة إلصاق تهمة القتل بالشاب محمد بابا نجار وعن ضرورة النطق ببراءته التامة من كل ما نسب إليه، خاصة لدى التأكد من تواجد المتهم وأفراد عائلته ضيوفا لدى عمه في الطرف الآخر من المدينة وكذلك لما صرح  وأكد شهود الإثبات وأبناء الضحية عن عدم رؤيتهم  للمتهم بالقرب من منزل الضحية، لا في ساعة الجريمة أو حتى في الأيام التي سبقت ارتكابها !! أما ابن الضحية القاصر الذي بني الاتهام على شهادته، كانت إجابته متناقضة حينا ومترددة في أغلبها !! مع  التذكير بالتصريح العلني الهام لأكبر أبناء  الضحية وهذا بتوجيه تهمة قتل والده لشخص آخر !! 

فبالرغم من هذا كله وبكل ازدراء واحتقار لمنطق ومبادئ العدالة والمنطق والضمير والإنسانية واحترام الذات نطق رئيس الجلسة بحكم السجن مدى الحياة ضد الشاب محمد بابا نجار الذي ثبتت براءته بالدليل القاطع لدى جميع الحاضرين. 

أمام هذا كله لم يبق لعائلة محمد بابا نجار ولجميع الجزائريين ضحايا هذا الجهاز الذي صار بمثابة السوط وأداة للقمع والإرهاب بيد سلطة بوليسية قمعية، إلا الطلب من كل الجزائريين الشرفاء وجميع الشخصيات النزيهة والسياسيين المعارضين والمناضلين الحقوقيين الميدانيين والصحافة المستقلة، العمل جميعا بدون كلل أو هوادة لتخليص الجزائريين وفي أقرب وقت من المسؤول الحقيقي عن كل هذا الظلم والقسوة والمعانات وهو الوحش المتمثل في هذه السلطة البوليسية القمعية التي صارت الخطر المحدق بكل الجزائريين في كل أرجاء الوطن،  وتستعمل كل المؤامرات الخبيثة و كل الوسائل والإمكانيات وكل أجهزة الدولة وبكل وقاحة وبدون أي اعتبار لأحد وعلى رأسها جهاز العدالة لقمع كل الحريات وكل مطالبة سلمية  بالحقوق، لدفع كل الجزائريين لأحد الخيارات التالية: الرضوخ والانبطاح أو السقوط في فخ المخدرات أو الرفض و الصعود إلى الجبال أو الانتحار أو الموت في البحار…



Chronique du jour
1 juin, 2009, 14:51
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Au pays des paradoxes  

       Le chef d’état, Bouteflika, le successeur de lui-même, avait promet lors de sa compagne électoral d’avril 2009, l’absorption du chômage par la création de 03 millions postes d’emploi. 

        

       Loin des clivages politique et des visions partisanes si nous faisons un petit calcul : 03 millions repartis sur 05 ans ( ou 60 mois) donne 50000 postes d’emploi par mois et ce même résultat devisé par 30 jours, donnera comme résultat final 1666 postes d’emploi par 24 heurs y compris les week-ends les jours ferries et les fêtes nationales, donc ; est il dans les plans comptables, réalisable ce projet ? en dépit d’une rente pétrolière conséquente, notre économie ne décolle pas toujours vers l’essor et le progrès, ne disposant pas d’une économie, d’ailleurs nous sommes le seul pays au monde, épargner par la crise financière ! Toutes les nations au monde, ont le souci pour l’avenir de leurs enfants, à l’exception de l’Algérie ou le pouvoir n’avait qu’un seul but qu’est le maintien. 

       

       En entend toujours les chants qui fredonnaient le mega « le plus grand d’Afrique » soient pour les universités, les routes, les barrages d’eaux, les mosquées et les usines. Mais ce n’est qu’un vocabulaire substantiellement perverti par un investissement qui ne garantit pas une économie durable, pour atteindre le maxime de 03 millions de postes du travail dans un pays économiquement rentier. 

        Le raisonnement oblige l’ouverture et l’implantation quotidienne d’une usine de 1666 postes pendant 05 ans, alors que le terrain montre le contraire, c’est-à-dire, on ferme des usines, on licencie des ouvriers, on entrasse le chômage, on cède nos biens publiques au étrangers et en recrute de l’extérieur sous prétexte des compétences et qualifications. 

l’homme libre 


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